Fête d’indépendance : le ministre Kéamou Bogola Haba, à la rencontre des jeunes

La Guinée a célébré ce 02 octobre 2024, l’an 66 ans de son indépendance. Une journée remplie de festivités dans la capitale mais aussi à l’intérieur du pays. A Conakry, la jeunesse n’est pas restée à la marge de cette fête. Car on pouvait remarquer leur présence massive dans les endroits de récréation.

C’est le cas de la plage Camayenne qui a connu d’ailleurs, la présence du ministre de la jeunesse et des sports, Kéamo Bogola Haba venu apporter son soutien.

 

 

« Il n’y a pas une date plus importante que le 02 octobre dans notre nation. Vous n’avez pas besoin de visa pour être ici, vous n’avez pas besoin de carte de séjour pour être ici. Si c’est bon en Guinée, est-ce que ce n’est pas mieux d’être ici ? Alors il (Présidence Mamadi Dombouya ndlr) a commencé à réaliser les choses importantes pour la jeunesse, et parmi les projets les plus importants, c’est la plage de Camayenne qui est gérée par mon ministère à travers l’office national des loisirs. Donc ça, c’est pour montrer aux Guinéens que prochainement, vous pouvez vous amuser chez vous. Donc à chaque fête, nous nous assurons que la jeunesse est mobilisée dans ces lieux. De l’autre côté, vous avez vu ce beau monde. Les jeunes ont trouvé un lieu où ils montrent à la face du monde que leur pays leur donne l’espoir. Vous avez vu les ronds-points aujourd’hui, les jeunes sont là. Vous êtes vraiment des soldats que nous devons encourager », a-t-il exprimé.

Après la plage de Camayenne, le ministre Keamou Bogola Haba, s’est dirigé dans un hôtel de la place pour la suite des festivités de la fête, avec des humoristes Guinéens et ceux venus des pays voisins.

Le ministre a, par ailleurs, dégagé l’ambition de son département en faveur de la jeunesse pour les 16 prochaines années.

« Dans le projet Simandou 2040, le ministère de la jeunesse a défini une composante que nous avons appelée, occupation saine de la jeunesse. Nous ne voulons plus qu’en 2040 qu’il ait un jeune de moins de 25 ans qui ne soit pas à l’école. C’est l’objectif qu’on veut atteindre en 2040 », conclut Bogola Haba.

 

 

 

Mimi Bangoura pour le renifleur224.com